« Est dysgraphique tout enfant dont la qualité de l’écriture est déficiente alors qu’aucun déficit neurologique important ou intellectuel n’explique cette déficience. » J. de Ajuriaguera
Pour Robert Olivaux, il y a dysgraphie lorsque l’écriture est atteinte dans l’une de ses fonctions essentielles d’instrument, de communication, de représentant de la personnalité, sans qu’un déficit neurologique ou intellectuel justifie cette perturbation.
D’une façon générale, on parle de dysgraphie si l’écriture est d’une manière anormale, lente ou fatigante, si sa lisibilité est insuffisante, si son niveau n’est pas conforme à l’âge et aux possibilités instrumentales du scripteur.
Les signaux qui doivent alerter
Ecriture lente
Pierre – 16 ans – Ecriture très lente
Ecriture maladroite
Jules – 7 ans – Maladresse
Ecriture peu lisible
Léon – 10 ans – Manque de lisibilité
Ecriture douloureuse
Luna – 37 ans – Crampe de l’écrivain